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PSYCHIATRIE : AIDE OU TRAHISON ?
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PSYCHIATRIE : AIDE OU TRAHISON ?
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21 avril 2007

Effets nocifs de la Ritaline et autres psychostimulants

Tableau I : Effets nocifs de la Ritaline (Rilatine), de la Dexedrine, de l’Adderall et des psychostimulants similaires

Les dangers du méthylphénidate, molécule de la Ritaline et du Concerta, et d'autres psychostimulants ont été recensés en 2000 par le Dr Breggin, fondateur de l’International Center for the Study of Psychiatry and Psychology (ICSPP) (Centre international pour l’étude de la psychiatrie et de la psychologie).

Certains termes ont été définis dans le glossaire de ce site. Cliquer sur les termes apparaissant sous forme d'hyperlien.

Cardio-vasculaire
Palpitations.
Tachycardie.
Arrêts cardiaques.
Hypertension.
Arythmie.
Douleurs thoraciques. 

Système nerveux central
Psychose avec hallucinations (dépression psychotique et manie).
Stimulation cérébrale excessive (convulsions).
Somnolence, «dopé», moins alerte.
Confusion.
Insomnie.
Agitation, anxiété, irritabilité.
Nervosité (hostilité).
Dysphorie.
Diminution des performances aux tests cognitifs.
Dyskinésies, tics.
Habitudes nerveuses (par ex. se pincer la peau, se tirer les cheveux).
Stéréotypies et compulsions.
Dépression, sensibilité exacerbée. 
Pleurs faciles.
Retrait social.
Diminution de l’affect et de la spontanéité.
«Zombie like».

Gastro-intestinal
Anorexie.
Nausée.
Vomissements.
Douleurs et crampes gastriques.
Sécheresse buccale. 
Constipation. 
Altération des tests hépatiques. 
Mauvais goût. 
Diarrhée.

Endocrine-Métabolique
Dysfonctions hypophysaires incluant des perturbations de l’hormone de croissance et de la prolactine.
Perte de poids.
Retard de croissance.
Interruption de la croissance.
Perturbations de la fonction sexuelle.

Autres
Céphalées.
Troubles de la vision.
Vertiges.
Hypersensibilité (réactions avec picotements, conjonctivite, urticaire).
Perte des cheveux. 
Dermatose exfoliative. 
Anémie.
Leucopénie.
Énurésie.
Fièvre inexpliquée.
Douleurs articulaires.
Sudation inhabituelle.

Sevrage et rebond
Insomnie.
Dépression.
Hyperactivité et irritabilité.
Rebond: exacerbation des symptômes «THADA».

Voir aussi le document Le scandale de la Ritaline (format pdf).

Source : témoignage du Dr. Breggin devant le Congrès américain, 29 septembre 2000. Traduction : Docteur Jean Philippe Labreze. © Springer Publishing Co./Dr. Breggin.

Notes : ces données sont tirées de Arnold et Jensen (1995, Table 38-5, p. 2306), Drug Enforcement Administration (1995, p. 23), Dulcan (1994, Table 35-6, p. 1217), et Maxman et Ward (1995, pp. 365-6). D’autres informations additionnelles proviennent de la Food and Drug Administration (1997, Mars) et sont indiquées entre crochets. *Arnold et Jensen (1995, Table 38-5, p. 2306, Table 38-7, p. 2307, et colonne 2, p. 2307). **Arnold et Jensen (1995). ***Pour le méthylphénidate seulement. ****pour la dextroamphétamine seulement.

À quoi il faut ajouter :

- Cœur de cocaïnomane***
- Accès de colère, violence
- Idées et pulsions suicidaires
- Passage à l'acte suicidaire
- Automutilation
- Envies de meurtre


Tableau II : Effets stimulants communément pris à tort comme « bénéfiques »
par les cliniciens, les enseignants et les parents chez les enfants diagnostiqués TDAH

Effets adverses des psychostimulants communément pris à tort comme une amélioration par les cliniciens, les enseignants et les parents mais qui traduisent en fait une réelle souffrance de l'enfant.

Effets obsessionnels-compulsifs
- Persistance compulsive dans des activités pourvues de peu de signification (appelée "comportement stéréotypique" ou "persévératif")
- Majoration du comportement obsessivo-compulsif (par ex. répète sans fin certaines tâches ou actions avec un manque total d'efficacité)
- Rigidité mentale (appelée "persévération cognitive")
- Rigidité de la pensée
- Trop borné ou attention excessivement focalisée

Effets de retrait social
- Retiré socialement et isolé
- Inhibition globale du comportement social
- Socialisation et communication restreintes
- Désinvestissement des relations avec les parents et les autres enfants
- Davantage de jeux solitaires et diminution de l'activité ludique en général

Effets inhibiteurs sur le comportement

- Docile dans des environnements structurés; inhibé socialement, passif et soumis
- Maussade, inhibé, apathique, léthargique, somnolent, hébété et fatigué
- Terne, émotion monotone, absence d'humour, absence de sourires, déprimé et triste, avec des accès de pleurs fréquents
- Manque d'initiative et de spontanéité, de curiosité et de plaisir

Source : témoignage du Dr. Breggin devant le Congrès américain, 29 septembre 2000. Traduction : Docteur Jean-Philippe Labreze. © Springer Publishing Co./Dr. Breggin.

© Dr Breggin.


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Commentaires
A
After read blog topic's related post now I feel my research is almost completed. happy to see that.Thanks to share this brilliant matter.
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