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PSYCHIATRIE : AIDE OU TRAHISON ?
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PSYCHIATRIE : AIDE OU TRAHISON ?
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17 août 2006

Notre fils de 14 ans est mort de la Ritaline

Nous avons créé le 15 avril 2001 ce site internet dans l’espoir de fournir aux parents et aux tuteurs la vérité sur le TDAH et sur les drogues utilisées pour traiter les enfants diagnostiqués TDAH.
[…] Matthew, notre fils de 14 ans, est mort soudainement le 21 mars 2000. La cause de sa mort est due à la consommation prolongée (de 7 à 14 ans) du méthylphénidate, une drogue connue sous le nom de Ritaline.
Selon le Dr Ljuba Dragovic, le médecin légiste en chef du comté d’Oakland dans le Michigan [États-Unis], l’autopsie a révélé des signes évidents de dommages dans les petits vaisseaux causés par l’usage du méthylphénidate (Ritaline).
Le certificat de décès stipule : ‘’Décès causé par l’usage prolongé de méthylphénidate (Ritaline).’’
[…] Ce qui est important, c’est que Matthew n’a jamais eu de problèmes ou de défaillances cardiaques.
L’histoire de Matthew a commencé dans la petite ville de Berkley, dans le Michigan. Alors qu’il était en cours préparatoire, l’école a jugé que Matthew avait le TDAH. L’assistante sociale de l’école, Monica Higer, nous demandait de venir à des réunions. Un matin, à l’une de ces réunions, pendant que nous attendions que les autres arrivent, Monica nous a dit que si nous refusions d’emmener Matthew voir le médecin et de le mettre sous Ritaline, les services de protection de l’enfance pourraient nous accuser de négligence vis-à-vis de son éducation et de ses besoins psychologiques. Ma femme et moi étions intimidés et nous avions peur. Nous pensions que nous pouvions très bien perdre notre enfant si nous ne nous conformions pas aux menaces de l’école.
Monica a poursuivi en nous expliquant ce qu’est le TDAH, disant que c’était un véritable trouble affectant le cerveau. Elle a continué en disant que le méthylphénidate (Ritaline) était un médicament très léger et qu’il stimulerait le cerveau et aiderait Matthew à se concentrer.
Nous avons cédé à la pression de l’école et nous avons emmené notre fils chez un pédiatre qu’ils nous avaient recommandé. Son nom est le Dr John Dorsey, de Birmingham, dans le Michigan. En le voyant avec la recommandation de l’école pour le méthylphénidate (Ritaline) à la main, j’ai remarqué qu’il semblait ennuyé. Il nous a demandé de nous rappeler que l’école n’était pas une pharmacie. Je conclue de sa remarque que nous n’étions pas les premiers parents que l’école lui envoyait. Le Dr John Dorsey a diagnostiqué officiellement chez Matthew le TDAH. Le test qui a servi au diagnostic a été bouclé en cinq minutes.
À aucun moment ma femme et moi n’avons eu de renseignements précis sur les conséquences du TDAH et sur les médicaments destinés à le ‘traiter’’.
[…] On ne nous a pas dit que la Drug Enforcement Administration avait classé le méthylphénidate (Ritaline) dans le Tableau II des drogues, comme la cocaïne.
[…] À aucun moment on ne nous a parlé du caractère non scientifique de ce trouble.
On ne nous a pas dit qu’il y avait une grande controverse dans la profession médicale au sujet de la validité de ce trouble.
De plus, on ne nous a donné aucun renseignement sur les dangers de l’usage du méthylphénidate (Ritaline) comme ‘’traitement’’ du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité. Un de ces dangers est que le méthylphénidate, la Ritaline, entraîne la constriction des veines et des artères, entraînant un effort cardiaque supplémentaire et conduisant inévitablement à endommager l’organe lui-même.
On ne nous a pas mis en garde sur le nombre important de morts d’enfants qui ont un rapport avec ces types de médicaments employés dans ce ‘’traitement’’.
Alors que Matthew prenait du méthylphénidate (Ritaline), à aucun moment nous n’avons été informés de quelque test que ce soit : échocardiogramme, IRM.  Ces types de tests auraient permis de détecter le dommage que subissait le cœur. Ces tests ne sont pas considérés comme ‘’standard’’ dans la surveillance du ‘’traitement’’ du TDAH, ils ne sont jamais utilisés chez les enfants.
[…] Si j’avais su certains faits, j’aurais agi différemment et mon fils serait encore en vie. Ça, j’en suis certain.
[…] Pour terminer, nous aimerions dire que nous espérons que ce site vous a éclairés.
Avec nos sincères salutations, Lawrence & Kelly Smith. »

Citation extraite de : Nos enfants, cobayes de la psychiatrie ?
Traduction de l'auteur
Source : © ritalindeath.com


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