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PSYCHIATRIE : AIDE OU TRAHISON ?
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29 août 2006

4400 plaintes américaines contre les effets du méthylphénidate

Des enfants âgés d'une dizaine d'années, sous cure de Ritaline, présentent des anomalies mentales similaires à celles que manifestent des toxicomanes accros à la cocaïne. Selon différentes sources, comme le document américain (intitulé en français Les conséquences des psychostimulants pour le TDAH : suicide et mort, publié en juillet 2002), les chiffres sont si dramatiques que la FDA (Food and Drug Administration, service gouvernemental américain responsable de la pharmacovigilance, c'est-à-dire des études, du contrôle et de la réglementation des médicaments avant leur commercialisation; ses avis font autorité dans le monde entier) reçoit régulièrement des plaintes venant de nombreux particuliers. Devant la recrudescence des accidents thérapeutiques de toutes sortes qui se produisent dans ce pays, notamment dus à la consommation généralisée de produits psychiatriques, l’agence a mis à la disposition du public une procédure d’alerte, le MedWatch program, qui permet à tout citoyen de déposer un rapport par courrier électronique. Plusieurs sources indépendantes affirment que l’agence fédérale a déclaré le 2 mai 2000 avoir reçu «un total de 4400 plaintes sanitaires relatives aux effets secondaires du méthylphénidate depuis 1969». Environ un tiers des plaintes reçues ont été recueillies dans les quinze derniers mois (avant mai 2000). Ces rapports concernaient des manifestations de convulsions, de tics, de dépendance, de douleurs cardiaques et de décès liées aux psychostimulants. Dans la décennie 1990-2000, confirment les documents étudiés, «plus de 569 enfants ont été hospitalisés, 38 d’entre eux ont failli perdre la vie et 186 décès ont été directement imputables à la Ritaline.» Mais tout laisse penser que ces chiffres soient sous-estimés étant donné que le pourcentage des parents qui déclarent ces accidents à la FDA est certainement infime, peut-être inférieur à 10 %. On ne peut donc pas sereinement déclarer, comme le font des psychiatres irresponsables, promoteurs des psychostimulants, qu’«il n'y a jamais eu un seul cas de décès lié à l'usage de la Ritaline dans le TDA/H».



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